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16 février 2012

La puta de la Gran Bretaña

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C’est comme ça qu’un de mes grands-pères surnommait Thatcher. Mais j’aurai pu aussi intituler le billet d’humeur « I want my money back » parce que le film est quand même très moyen.

Pour être clair, avec sa prestation, Meryl Streep sauve le film. La structure narrative du film – les souvenirs de Thatcher, aujourd’hui sénile, sur son parcours de vie, de sa jeunesse jusqu’au pouvoir, autour de sa vie de couple – est plutôt bien construite.

Mais voilà, le film n’est ni politique, ni intimiste. Du thatcherisme, de ses principes comme de son action détestable, on n’en verra rien ou si peu. Quelques images d’époques et des scènes reconstituées survolent le tout. De la personnalité, on reste dans la surface.

Si j’en crois les interviews données par l’actrice, un des « buts » du film est de la montrer sous un visage plus humain. Bon… La vieillesse est un long naufrage, c’est certain. Ca ne suffit pas à montrer la part humaine de chacun. Elle aimait son mari. Bon… ça nous fait une belle jambe.

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