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29 décembre 2008

Quête Macabre

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« Deux jeunes gens viennent passer un séjour à la montagne, dans la maison héritée de l’oncle de l’un deux, décédé quelques mois plus tôt. En fouillant la maison, ils trouvent un porte document. Celui ci rassemble toutes les recherches qu’avait effectuées le défunt, pour retrouver une amulette magique. Une amulette ayant appartenu à un templier, brûlé sur un buché. Ils se lancent alors à la recherche du médaillon qui se trouve être enterré aux alentours d’une chapelle. Ils finissent par trouver et piller la tombe. Mais ils vont très vite se rendre compte qu’on ne réveille pas les morts impunément… »

Inspiré de la nouvelle « Le Molosse » d’Howard Philip Lovecraft, Quête Macabre est le troisième court métrage que j’ai réalisé avec Laurent et son frère, il y a deux ans de ça. Avec les deux autres, Nuit Sacrée et Le Sentier, ils constituent une sorte de trilogie « fantastique » du « Moine fou ».

Tournés dans les Pyrénées, à proximité d’une église, d’un vieux moulin ou d’une chapelle, avec une simple caméra et dans des décors naturels comme la montagne et la forêt, ces trois courts-métrages sont des films amateurs. A partir de l’expérience cinématographique acquise par Laurent aux Beaux Arts de Metz, nous avons bien cherché à respecter certaines « conventions », à nous appliquer le plus possible à chaque prise, ou encore à exploiter un logiciel de montage pour améliorer le film. Mais notre équipe, si réduite, et nos faibles moyens (matériels, financiers) ne nous ont pas permis de faire plus.

Cette envie de faire des films est née bien avant ces trois courts métrages. Il y a un peu moins de dix ans de ça, alors que nous n’étions qu’au collège, j’avais lancé la folle idée de tourner un mini épisode de Star Wars.

Au départ, il s’agissait de faire une sorte de bataille spatiale. Nous avions fait des vaisseaux en terres, avec un trou à l’arrière pour mettre un pétard, sur lesquels nous mettions un coup de peinture. On avait trouvé une boule en polystyrène qu’une couche de white, si je me souviens bien, avait attaqué, donnant au final l’aspect de Lune. Nous avions fait aussi les fameux destroyeur impériaux à partir de cartons. En fait, on gardait les pots de yahourt, les cartons des boites de kellogs, les tubes de dentifrice, des petites bouteilles, et autres substantiles pour créer des vaisseaux (ou des lunettes).

Puis un ami vint nous dire que Star Wars sans combat de sabre lasers, c’était pas Star Wars. Je le pris aux mots et rédigea l’ébauche d’un scénario, que j’améliorerai par la suite par sept versions, et qui intégrait un duel de Jedi. Le scénario plus ou moins fini, nous recherchions du monde intéressé par le projet. Face au problème crucial d’argent, qu’une participation de tous ne résolvait évidemment pas, Laurent proposa de participer au concours sciences vie junior. Nous envisagions alors de constituer un mini-robot R2D2, à partir d’un petit tonneau et de quelques moteurs. Quelques années après j’avais même constitué un début du dôme. Des masques devaient aussi être crées.

Mais comme quelques mois après je dû partir en Afrique et que chacun alla dans un lycée différent, le projet entra en sommeil. De Djibouti, je continuai à améliorer le scénario et à rédiger une bonne partie des dialogues des différentes scènes. Laurent découvrit de son côté un logiciel de 3D qui nous serait utile pour les scènes de vaisseau. Ensemble, dans les Pyrénées, nous avions inventé, geste après geste, la scène du duel. Puis à mon retour définitif d’Afrique, le projet fût officiellement abandonné, par manque de temps, par réalisme, par abandon successif des (bonnes) volontés des membres de l’équipe.

Si au final il reste un goût amer d’inachevé (les mauvaises langues diront que ça n’avait même pas commencé), je ne regrette pas le temps investi dans une telle aventure. J’ai d’ailleurs beaucoup appris de cette expérience : appris sur les difficultés à rédiger (je crois que mon goût de l’écriture vient de cette période là), à animer et motiver dans la durée une équipe, à identifier les contraintes (financières, techniques, technologiques) et les moyens de les résoudre, et tout simplement à faire des allers retours entre ce qu’on imagine et ce qu'on souhaite (par définition personnel) et ce qui est en réalité et en pratique faisable.

Mais je continue à rédiger, à mes heures perdues, des débuts de scénario. Hélas je n'ai pas toujours l'inspiration pour les finir. Un autre jour, je vous en présenterai peut être... Des masques devaient aussi être crées.

Si au final il reste un goût amer d’inachevé (les mauvaises langues diront que ça n’avait même pas commencé), je ne regrette pas le temps investi dans une telle aventure. J’ai d’ailleurs beaucoup appris de cette expérience : appris sur les difficultés à rédiger (je crois que mon goût de l’écriture vient de cette période là), à animer et motiver dans la durée une équipe, à identifier les contraintes (financières, techniques, technologiques) et les moyens de les résoudre, et tout simplement à faire des allers retours entre ce qu’on imagine et ce qu'on souhaite (par définition personnel) et ce qui est en réalité et en pratique faisable.

Mais je continue à rédiger, à mes heures perdues, des débuts de scénario. Hélas je n'ai pas toujours l'inspiration pour les finir. Un autre jour, je vous en présenterai peut être...

Si au final il reste un goût amer d’inachevé (les mauvaises langues diront que ça n’avait même pas commencé), je ne regrette pas le temps investi dans une telle aventure. J’ai d’ailleurs beaucoup appris de cette expérience : appris sur les difficultés à rédiger (je crois que mon goût de l’écriture vient de cette période là), à animer et motiver dans la durée une équipe, à identifier les contraintes (financières, techniques, technologiques) et les moyens de les résoudre, et tout simplement à faire des allers retours entre ce qu’on imagine et ce qu'on souhaite (par définition personnel) et ce qui est en réalité et en pratique faisable.

Mais je continue à rédiger, à mes heures perdues, des débuts de scénario. Hélas je n'ai pas toujours l'inspiration pour les finir. Un autre jour, je vous en présenterai peut être...

Si au final il reste un goût amer d’inachevé (les mauvaises langues diront que ça n’avait même pas commencé), je ne regrette pas le temps investi dans une telle aventure. J’ai d’ailleurs beaucoup appris de cette expérience : appris sur les difficultés à rédiger (je crois que mon goût de l’écriture vient de cette période là), à animer et motiver dans la durée une équipe, à identifier les contraintes (financières, techniques, technologiques) et les moyens de les résoudre, et tout simplement à faire des allers retours entre ce qu’on imagine et ce qu'on souhaite (par définition personnel) et ce qui est en réalité et en pratique faisable.

Mais je continue à rédiger, à mes heures perdues, des débuts de scénario. Hélas je n'ai pas toujours l'inspiration pour les finir. Un autre jour, je vous en présenterai peut être...

20:23 Publié dans Récit de vie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : pyrénées

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