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30 mars 2010

Forever Young

Pour continuer avec les années 80 ;-)

20:30 Publié dans Musique | Lien permanent | Commentaires (0)

24 mars 2010

A-ha

A-Ha-Foot_Of_The_Mountain-Frontal.jpg

 

J’ai récemment découvert, via youtube, le dernier album d’A-ha.

A-ha est un groupe norvégien tendance pop des années 80.

C’était un des groupes préféré de ma cousine.


« Take on Me » est surement leur chanson la plus connue.

Le clip, plutôt novateur à l’époque, a pas mal aidé au succès.

Avec le synthé, c’est très années 80 et j’aime bien ça !


En 2003 j’écoutais souvent leur best-of « Headlines and dealines ».

Et là je suis fan de leur dernier album que j’écoute en boucle.

Un son plus actuel. Un ton plus mélodieux et posé aussi.


Mes chansons préférées pour le coup :

The Bandstand

What there is

Shadowside

00:30 Publié dans Musique | Lien permanent | Commentaires (4)

17 mars 2010

La banalité du Mal

zone-xtreme.jpg

Jusqu'où va la télé ?

"Les dérives de la téléréalité sont inquiétantes. Violences, tortures, humiliations dominent les programmes dans le monde entier. La télévision détient-elle un pouvoir spécial ? Dans les années 60, une expérience psychosociale prouvait que 62 % des individus administraient des chocs électriques extrêmes en obéissant aux ordres d'un scientifique. L'équipe de Christophe Nick a transposé cette expérience à l'univers des jeux télévisés, avec un jeu aux règles abjectes, où il est question d'infliger des chocs électriques à un inconnu, en étant dirigés par Tania Young. Qui va se soumettre ?" France 2

12 mars 2010

Peut-on vivre sans aller voter ?

A quelques jours du premier tour des élections régionales, il n'est pas rare de croiser encore quelques électeurs indécis, également tentés par l'abstention. Parmi ceux là, certains cachent mal leur scepticisme sur l'intérêt et le sens du vote. Et leur récurrente question - « A quoi ça sert de voter !? » - laisse difficilement indifférent les démocrates convaincus.

Le gouvernement a lancé il y a quelques mois le scandaleux « débat » sur l'identité nationale et de l'immigration. Le durcissement de la politique sur l'immigration a conduit les services préfectoraux à remettre en cause la nationalité française des concitoyens qui venaient renouveler leurs papiers d'identités. Ce qui apparait comme une bévue administrative matérialise en fait la précarité (voire la négation !) de notre identité citoyenne. Face à cette dérive, le vote, parce qu'il exprime la voix de celui qui acquiert le rang de citoyen, est le pouls de la  vie démocratique et le ciment de notre identité républicaine.

Je pense également qu'une part de l'abstention et/ou du scepticisme des électeurs vient du fait que les gens, au final, ne savent pas à quoi servent les régions. J'ai pu en prendre la mesure en tractant sur le marché de ma commune le samedi matin. Les candidats de la liste socialiste en Midi-Pyrénées, présents sur le marché à l'occasion, ne manquent pas de rappeler les compétences de la Région.

Une Région, ce n'est pas un mini-Etat. N'étant pas dans un contexte d'Etat fédéral comme en Allemagne ou aux Etats-Unis, nos régions n'édictent pas leurs propres lois et ne créent ni ne lèvent des impôts propres à leurs territoires. Dotée de la clause générale de compétence, la collectivité « région » peut intervenir dans tous les domaines où elle estime, via l'assemblée délibérante (le conseil régional), la représentant, devoir intervenir et sous réserve de respecter la loi (produit de l'Assemblée Nationale et du Sénat).

Mais les différentes lois de décentralisation ont confiées aux régions des champs de compétences précis. La Région intervient en matière de développement économique (aide aux entreprises, de filières locales), de transport férrovière (TER), d'aménagement du territoire (développement durable), de formation professionnelle et d'apprentissage, de lycée (personnel TOS, création et rénovation d'établissements scolaires ainsi que le mobilier). Autrement dit, la région intervient dans les affaires de la vie courante, aux cotés des départements et des communes.

Malgré des budgets limités et des règles budgétaires strictes encadrant leurs dépenses (la région ne peut s'endetter que pour investir), les régions, avec l'ensemble des collectivités locales, réalisent les ¾ de l'investissement public. En dépit de nombreux bouleversements (transferts de compétences non toujours compensés financièrement par l'Etat ; suppression de la taxe professionnelle, principale ressource fiscale des collectivités), les régions participent au soutien de l'activité des entreprises locales et au développement durable de nos territoires.

19:40 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (3)

02 mars 2010

Un difícil despido

Este sábado en Zaragoza, ha fallecido mi abuela a las tres de la madrugada tras un mes de hospitalización. Desde cinco o seis anos, ya vivía con una cirrosis. Esta enfermedad se empeoró estos últimos meses, atacando el organismo interno (insuficiencias renales, diabetes) y cuerpo (mal de piernas). Los diferentes análisis y tratamientos no daban ninguna perspectiva positiva. Era una cuestión de tiempo.

Hasta el último momento, la mujer fue muy bien acompañada. Sus cuatros hijos, sus nietos, sus sobrinos, los amigos de los hijos, algunos de los nietos, etc. cada uno pasó unas horas a verla y animarla. No todos los enfermos del hospital encontrados tuvieron tantas visitas. No sé si es que los médicos quisieron prepararnos pronto y progresivamente a su muerte o si nuestras visitas le dieron un poco de vida, pero mi abuela hizo mentir los pronósticos. Era una mujer de carácter y físicamente fuerte.

Me costo bastante realizar lo que ocurría. Creo que cuando estas lejos de este tipo de situación, no lo entiendes realmente hasta que lo veas de tus ojos propios. Lo he negado o menospreciado casi hasta el final. Me parecía, y sigo pensándolo, que la muerte forma parte de la vida, y que es preferible une muerte rápida en vez de largos sufrimientos. Tampoco quise, inicialmente, verla antes de su muerte. No quería que los últimos recuerdos de mi abuela fueran los de una mujer disminuida y gravemente enferma en una cama de hospital. Pero no tuve otro remedio que afrontar mis temores.

No fue nada fácil puesto que no reconocí a mi abuela. Encontré a una mujer con un cuerpo inflado y la cara delgada, casi las patas arribas, hablando con una voz extraña (entendía muy difícilmente lo que nos decía), vomitando a veces. El primer día, tenía toda su cabeza, pero de pronto volvieron sus alucinaciones. Daba mucha pena verla así. Acabó sus días en un coma. Parece que el oído es el último que se pierde en el coma, así que todos siguieron hablándole. Le dije entonces que la quería mucho. Murió por la noche...

Se ha decidido incinerar el cuerpo en fin de poder transportar las cendres en los Pirineos donde descansan ya dos de sus nietos. Paseando en el inmenso cementerio de Zaragoza me han mostrado la tumba de mi abuelo, fallecido poco después de mi nacimiento. Su cuerpo será también incinerado. Al ver todas estas tumbas, a veces muy pocas entretenidas, reflexioné sobre la evolución de la relación de nuestras sociedades par con la muerte. Antes una familia se movía poco fuera de una ciudad o de una región, y de hecho enterar los muertos tenia sentido. Ahora nos movamos tantos - bueno aun depende - que resulta mas fácil incinerar y mover las cendres.

Volviendo en Toulouse tras una semana de tiempo suspendido, empezó a realizar que la vida ha seguido su curso y que cada miembro de la familia debe seguir adelante. Siento como una sensación de desfase, y es un sentido raro. La ausencia de alguien querido se aclara entonces. Llega entonces el tiempo de los recuerdos y de la memoria.

01:00 Publié dans Récit de vie | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : espagne, mémoire