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28 juin 2010

Suit Up !

Une scène d'un épisode d'How I Met Your Mother dont je vous ai déjà parlé.Le personnage de Barney est excellent et l'acteur qui l'incarne, Neil Patrick Harris est génial et bourré de talent.

Rien à voir, mais les quelques fois où j'ai porté un costume, dont à la cérémonie de remise des diplômes, j'avoue que j'ai adoré car j'ai l'impression alors d'être un autre homme :)

Enfin, petite pensée pour Tonio qui était en costume les trois fois où nous nous sommes vu sur Paris. C'est son bleu de travail comme il  dit ;-)

18 février 2010

HIMYM, l’histoire d’une rencontre

 

 

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How I Met Your Mother est un autre sitcom que j'aime bien regarder à mes heures perdues. J'avais vu un épisode de cette série sur une chaine du câble mais ce sont mes amis Julien et Sidonie qui me l'ont fait découvrir, à l'occasion d'un de mes voyages Orléans. La série a été un temps diffusée sur NT1. Mais c'est encore une fois par streaming que j'ai pu visionner l'intégralité de la série.

En 2030, Ted Mosby raconte à ses deux enfants adolescents comment il a rencontré leur mère. Le récit nous transporte dans le New York des années 2000 où Ted, jeune architecte à l'aube de la trentaine, recherche le grand amour. Il partage un appartement avec son ami Marshall. Celui-ci est en couple avec Lily. Les trois se connaissent depuis la fac.

Dans leur bar préféré, situé en bas de leur immeuble, ils y retrouvent Barney qui passe son temps à draguer et coucher avec les filles. Puis vient se rajouter Robin, présentatrice sur une chaine locale et canadienne d'origine. D'abord petite amie de Ted, il est persuadé qu'elle est la bonne, elle fini par intégrer la bande.

La rencontre avec la future madame Mosby reste la trame de fond de la série mais celle-ci raconte, au travers de la narration subtile de Ted, les aventures de nos cinq trentenaires. A nouveau l'humour de la série repose sur la personnalité attachante des personnages (Ted le romantique, Marshall le grand frère, Lily la meilleure amie, Barney l'incorrigible dragueur), leur profonde amitié, leurs situations (parfois bien coquasses), leurs anecdotes, leurs dialogues (tantôt loufoques, tantôt mélodramatiques).

How I Met Your Mother n'est pas sans rappeler Friends mais comparaison n'est pas raison, chaque série a son style. Un personnage là aussi s'en détache, Barney, magnifiquement incarné par Neil Patrick Harris, dont les phrases et les combines de dragues sont à tout  simplement "legend...wait for it... dary ! legendary !". La série arrive à sa cinquième et dernière saison. On va enfin savoir comment Ted a rencontré la mère de ses futurs enfants ;-)

12 février 2010

TBBT, une histoire de Geek

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TBBT est l'abréviation de The Big Bang Theory, une autre série américaine que j'aime bien regarder de temps à autre. Je l'ai découvert sur le net. Elle commence tout juste à être diffusée en France (NRJ.12).

The Big Bang Theory c'est l'histoire de quatre geeks - Leonard, Sheldon, Howard et Raj' - des surdoués qui travaillent comme scientifiques et passent leurs temps libre à jouer sur l'ordinateur ou tout autre console moderne, à collectionner des comics, à regarder des films, à parler de théorie scientifique ou à inventer des jeux etc. Bref, leur vie sociale est limitée et surtout réglée comme une horloge. Elle va s'en trouver perturbée par l'arrivé de Penny, la nouvelle voisine de palier de Leonard et Sheldon.

Leonard est le plus « normal » des quatre. Il tombe de suite amoureux de Penny et tente au fil des épisodes de la séduire. Il partage son appartement avec Sheldon, qu'on suppose être son meilleur ami, mais dont la brillante intelligence n'a d'égale que son incapacité à comprendre et intégrer les normes sociales de vie en société. Il a le don pour sortir la phrase cassante au bon moment. Ils partagent leur temps libre et leurs hobbies avec Howard et Raj'.

Ces deux là trainent souvent ensemble, si bien que par moment dans la série, certains pensent qu'ils sont en couple. Howard a le don de s'habiller toujours n'importe comment. Il se prend pour un tombeur de nanas et prodigue des conseils de drague à ses amis mais se fait toujours rembarrer. Il vie toujours chez sa mère qui le traite comme un enfant. Le vrai cliché du jeune juif. Ils communiquent toujours en criant. Enfin, Raj' est originaire de l'Inde, dont il fait souvent référence, et se trouve en incapacité à une femme ou en présence de femmes.

Penny joue la jolie blonde de service. Elle travaille au burger king et souhaite devenir actrice. Elle intègre la bande sans jamais porter de jugements mais sans non plus toujours comprendre leurs modes de vie, leurs propos ou leurs logiques. Elle est amoureuse de Leonard avec qui elle joue au chat et à la souris. C'est par elle essentiellement que nos quatre garçons se confrontent au monde « normal ».

L'humour de la série repose beaucoup sur cette rencontre décapante entre l'univers des geeks et celui des gens « normaux ». C'est typiquement un sitcom basé sur le comique de situation, l'alchimie entre les personnalités stéréotypées des personnages et leurs phrases mythiques. Le personnage de Sheldon, incarné par Jim Parsons dont les performances sont unanimement saluées, ses phrases-chocs et ses tocs dominent la série et contribuent énormément à son succès.

La série en est aujourd'hui à sa troisième saison et le succès se confirme outre-Atlantique. Je n'ose pas regarder la version française tellement je me suis habitué aux voix anglo-saxonnes. Mais si je continue de regarder la série avec intérêt, j'en ressens néanmoins comme un passage à vide. Il me semble que la série se centre dorénavant trop sur le personnage de Sheldon. Les autres personnages, mais c'est sans doute lié à leur changements de situations, m'apparaissent comme des figurants dont la présence se résume à donner la réplique à Sheldon. Le personnage de Raj' est à mon avis un des moins exploité et son handicap avec la gent féminine contribue à son effacement.

31 janvier 2010

Earl, une histoire de karma

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Earl Hickey est le personnage central de la série américaine My Name Is Earl diffusé un temps sur M6. J'avais découvert la série lors de son passage télé mais c'est en visionnant sur screaming les 4 saisons à la suite, que j'ai littéralement accroché.

My name is Earl retrace les aventures d'Earl, un escroc de la petite semaine sans ambitions et sans perspectives, qui se fait renverser par une voiture juste après avoir gagné à la loterie. Emplâtré sur son lit d'hôpital, il « rencontre karma » en regardant l'émission d'un présentateur américain. Il décide d'élaborer une liste de toutes ses mauvaises actions et entend s'amender auprès de ses victimes, pour regagner les ferveurs de « karma ».

Sur le chemin de la rédemption, Earl est accompagné de Randy, son petit frère un peu simple d'esprit, avec qui il vie dans une chambre d'un motel pourrie au bord d'une route de leur petite ville paumée et paupérisée, Camden. Ils partagent peu ou prou leurs aventures avec leurs amis - Joy, Darnel et Katalina - et quelques autres personnages secondaires (la prostituée, l'alcoolique, l'homosexuel, le flic gaffeur, etc.), qu'on découvre au fil des épisodes.

Joy, la blonde super-bonne mais au caractère de chien, est l'ex-femme d'Earl. Elle l'a épousé après l'avoir bien saoulé pour qu'il la prenne en charge elle et son futur bébé. Avant qu'Earl rencontre « karma », elle le trompait avec Darnel, qu'elle épouse après l'accident de voiture d'Earl. Darnel, dit Crabman, est le barman du Crab-tambouille. Katalina est une immigrée mexicaine qui travaille le jour comme femme d'entretien dans le motel d'Earl et Randy, et comme streap-tiseuse la nuit.

Chaque épisode fonctionne sur un schéma bien rodé. D'abord on voit comment est choisi le numéro de la liste que doit régler Earl dans l'épisode. Parfois, c'est Earl ou son entourage proche qui déterminent le numéro du jour, mais souvent c'est les circonstances. Ensuite, au travers de flashback, Earl raconte les méfaits qu'il a causés auprès de la personne. Enfin, les retrouvailles avec celle-ci et surtout les difficultés que rencontrent Earl et Randy pour arriver à se racheter auprès de cette personne, qui à la fin, autorise Earl à la rayer de la liste.

L'humour de la série repose surtout sur le comique de situation, mais c'est les personnages avant tout, leurs caractères autant que leurs propos pas forcément très intellectuels, qui rendent la série intéressante. Bien que les personnages soient stéréotypés - le blanc-bec, le gros béta, la blonde, le black, la bombe latino, etc. - je les trouve tous assez attachants. Et malgré un fond moralisateur, la série n'a pas d'autre vocation que le rire (parfois satirique).

Perso, je trouve que le duo Earl-Randy marche bien car les deux frangins se complètent. L'un est terre à terre et tente de protéger l'autre, véritable candide, autant qu'il peut. J'aime bien chez Earl, ses expressions faciales, ses chemises débraillées et son style négligé. Mais j'aime encore plus le personnage de Randy, avec son air grand enfant, totalement assisté par son frère, sans qui il est perdu et qu'il suit jusqu'en prison.

Enfin, j'ai une petite pensée pour Darnel dont le caractère, calme et réfléchie, tranche avec celui des autres personnages, et me rappelle terriblement un ami-camarade de promo dans la vie réelle avec sa coupe de cheveux et tout J

Bien que la série ait semblé souffrir d'un certain essoufflement, au milieu de la quatrième saison pour ma part, je suis quand même assez triste de son brusque arrêt. Je trouve dommage que les séries finissent parfois subitement, pour des raisons d'audimat et donc financières, sans que les auteurs et réalisateurs ne puissent préparer la fin de la série.

07 mars 2009

10ème anniversaire de la mort de Kubrick

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Le 7 mars 1999, Stanley Kubrick meurt à son domicile de la banlieue de Londres. Dix ans après, les polémiques entourant ses films se sont calmées, mais le personnage provoque toujours vénération ou répulsion violente. Certaines scènes marquent encore les esprits.
Voir l'article du Monde d'aujourd'hui
De tous ces films, il me reste encore à voir Spartacus. J'ai acheté le DVD il y au moins deux ans , mais le film est tellement long que je n'ai  jamais vaiment pris le moment de me poser et de le regarder. Tout récemment je m'e suis re-regardé Orange Mécanique sur un grand écran... un régal !