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28 juin 2010

Suit Up !

Une scène d'un épisode d'How I Met Your Mother dont je vous ai déjà parlé.Le personnage de Barney est excellent et l'acteur qui l'incarne, Neil Patrick Harris est génial et bourré de talent.

Rien à voir, mais les quelques fois où j'ai porté un costume, dont à la cérémonie de remise des diplômes, j'avoue que j'ai adoré car j'ai l'impression alors d'être un autre homme :)

Enfin, petite pensée pour Tonio qui était en costume les trois fois où nous nous sommes vu sur Paris. C'est son bleu de travail comme il  dit ;-)

24 juin 2010

Alé lé blé !

Comme de nombreux français, j’ai suivi le psychodrame de notre équipe de foot – fraichement débarquée du mondial – le weekend dernier. Difficile de faire autrement quand on est à ce moment là chez des oncles, accro au sport, quel qu’il soit, et qui zappent d’une chaine sportive à une autre. Du coup, je ne résiste pas à donner ma petite opinion sur l'affaire. 

Disons le tout net, je n’ai jamais été amateur de foot et de sport en général. Je suis bien incapable de regarder « assidument » un match ou un tournoi, car je suis vite distrait. Et quand je regarde, je ne suis pas capable d’apprécier le jeu et les actions de telle équipe, à la différence des supporters sportifs. C’est parfois handicapant, socialement parlant 

Si les joueurs n’ont rien fait pour s’attirer la sympathie des français (peu de sourires, peu d’interview, peu de disponibilité pour les supporters, ils n’ont pas non plus brillé par leurs exploits etc) et si Raymond Domenech n’est pas un super communiquant, on ne peut être que frappé par l’acharnement des média contre le sélectionneur et l’équipe de France. 

Mon impression, c’est que certaines personnes – tant du monde sportif que du journalistique – voulaient se payer Domenech depuis quelques temps déjà. Et la composition de l’équipe de France n’a pas convaincu : trop d’individualités, pas assez d’esprit collectif. Les média ont beaucoup insisté sur le manque de cohésion au sein de l’équipe, sur les rivalités et autres traits de la vie d’un groupe. 

On est très vite rentré dans un cercle vicieux : les joueurs apparaissent assez antipathiques, les média insistent sur cet aspect, les joueurs se braquent renforçant ainsi la pression des média. Moins les Bleus parlent, et plus les média veulent en savoir plus. Et j’avoue que je comprends mal cette curiosité, cette demande d’informations qui m’apparaissent secondaires voir superflues. Par exemple, quel est l’intérêt du point presse quotidien ? 

Autre fait marquant : l’omniprésence des anciens champions du monde de 1998. Beaucoup d’entre eux interviennent comme consultants sportifs dans les émissions consacrées au foot. Or j’ai l’impression que certains prenaient la posture de donneur de leçons vis-à-vis de leurs successeurs, oubliant au passage qu’ils avaient reçu à peu près les mêmes critiques en 2002, lorsqu’ils s’étaient fait éliminer dès le premier tour. 

Mais cette omniprésence a autre chose de malsain à mon goût. On célèbre/ commémore tellement cette équipe de France de 1998 et cette belle victoire qu’elle fini par écraser les générations suivantes d’une pression supplémentaire. Il est temps de démystifier tout cela.

14 juin 2010

El deseo

Ayer por la tarde, regresé de una semana en Paris. Después de los tres primeros días dedicados a una oposición administrativa, la octava desde septiembre, disfruté de mi tiempo libre a visitar el museo Branly, sobre los artos primeros, y el centro Georges Pompidou de arte contemporáneo. Pero de eso, hablaré otro día...tal vez.

Como suelo hacerlo cuando me toca venir en una ciudad donde viven amigos, les  llamo para que tomemos una copa o que comemos algo en un restaurante. Así que esta vez, he podido quedarme con dos amigas del instituto. Dos chicas que no había visto desde cuatro años al menos, aunque nos escribíamos de vez en cuando.

Desde que las conozco, E. y C. me han parecidos siempre estupendas. Son realmente guapas e inteligentes, cada una en su estilo y con su carácter propio. Y al encontrarnos los tres en restaurante camboyano, bebiendo vino blanco y riendo, me recuerdo de los personajes de Vicky y Christina, la película de Woody Allen, aunque no tengo nada de un Javier Barden.

E. tiene una cabellera morena ensortijada que le dan, en mi opinión, une cierta atracción. Sus ojos, de color marón, son vivos y brillantes. Su sonrisa, muy regular, ilumina su cara. Aunque nunca la encontré gorda noté que ha adelgazado, dándole aun más prestancia. Es una mujer determinada y con mucha ambición, sensata en sus reflexiones y muy curiosa de las cosas. Es una persona muy alegre.

C. es rubia con unos ojos azules que atraen la mirada. Gozando de un cuerpo con buenos triunfos, la chica desempeña sensualidad. Su corte de pelo liso le hace parecer más mujer que nunca. Es una joya porque es tan lista como linda. De carácter rebelde, es un poco bourgeois-bohème, a la vez romántica y muy liberada. A veces parece artista maldita. Sabe hacerse respectar y apreciar.

En el instituto, C. y yo teníamos el proyecto de hacer estudios de ciencias políticas, pero ella lo dejo tras un año de preparación y sobre todo por el amor de un hombre, un "artista" como ella, y con quien ha vivido más de 7 años. Aunque en muchos aspectos somos muy diferentes, reconozco que siempre me ha gustado esta chica. Al saber que venía, y más tarde que era soltera, he soñado todo el santo día en poder pasar la noche con ella. Pero la realidad fue otra...

04 juin 2010

Le grand air

Il y a un mois de cela, certaines personnes dans ma promo avaient lancés l'idée de faire une randonnée en montagne, histoire de sortir de notre établissement et du cadre toulousain. Sur les 15 personnes que nous sommes au total, à peu près 7 personnes s'étaient dites partantes. En raison de la météo (de la neige en mai!), nous avons du annuler la première date.

Voyant que rien ne bougeait après ce report, j'ai décidé de relancer mes collègues, mails après mails, sms après sms, appel après appel. Finalement nous avons réussis à la faire. Quand au retour de la balade, l'un de mes amis m'a remercié d'avoir insisté, je me suis dit que ça n'avait pas été vain.

Nous sommes donc partis à 5 donc faire une rando près d'un village situé à côté de Luchon. Le parcours constituait une boucle. Il a fait assez chaud, surtout au milieu de l'après midi, et il n'y avait pas vraiment de coin d'ombre. Heureusement, une légère brise venait nous rafraichir.

Voici quelques photos. Normalement, à l'exception de la photo du groupe, on pouvait toutes les agrandir mais visiblement je m'y suis mal  pris. Et vu comment je galère à tout mettre en forme, ça va rester comme ça, hein !

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  Le chemin du départ (vu de dos) 
 
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A peu près au tiers de la montée, une maison de berger.

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Encore plus haut, deux maisons de berger (une sur la gauche). Première pause nutritive. Tout en bas, on aperçoit le village de départ. Au fond, sur la droite, un énigmatique signe. Une lettre. 

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Le A d'anarchiste ? Les extraterrestres peut-être...

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L'équipe presque au complet, Gael tentant d'installer le minuteur sur mon appareil photo

 
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De l'autre coté du versant

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 La vue d'en haut. Pause repas. Après l'effort, le réconfort.

Première rando de la saison (j'espère), putain j'en ai chié !

23:52 Publié dans Récit de vie | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : pyrénées