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31 juillet 2010

Entre ouverte

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Une porte entre ouverte, voilà la situation dans laquelle je me trouve à l’annonce des résultats du concours militaire (celui de commissaire) que j’ai passé entre juin et juillet. Je suis en effet cinquième sur liste complémentaire avec la possibilité d’être appelé, en cas de désistements d’autres candidats, jusqu’au 6 septembre. 

A dire vrai, je ne me fait guère d’illusions sur l’issue finale. Il y a tout juste 8 admis, et nous sommes 6 sur la liste d’attente. Quelques désistements sont possibles (tel candidat préférant plutôt un autre corps d’armée ou un autre concours à celui-ci etc.), mais pas dans de grosses proportions, et cela dépend trop de circonstances extérieures maintenant. 

Au regard de mes performances en sport (assez mauvaise, il faut bien le dire mais ça ne s’improvise pas) et en culture générale (entretien avec le jury), je ne m’attendais pas vraiment à faire partie des heureux élus. Mais dans un malentendu, on se dit (et espère) que ça peut passer et que tout est possible,. 

Mais paradoxalement, je reste optimiste pour la suite. D’abord parce que j’ai pu passer le cap des écrits, ce qui ne m’était pas arrivé depuis l’an dernier malgré 7 ou 8 concours passé et une préparation spécifique (à noter que j’ai raté l’avant dernier concours d’un point et des poussières, et que je pense avoir enfin acquis la méthodologie de la note de synthèse).  

Ensuite, j’ai noté une amélioration dans mes prestations à l’oral, même si je reste un homme d’écrit plus que de paroles. J’ai du mal à penser vite, que ce soit pendant le temps de préparation de l’exposé ou au cours de l’entretien. Je suis un peu lent au démarrage, que voulez-vous ! On m’appelle la flèche…

Je repars maintenant pour quelques mois de concours. Courant septembre-début octobre, je commencerai à chercher du travail en venant grossir ce qu’appelait Karl Marx « l’armée de réserve » du capitalisme.

14 juin 2010

El deseo

Ayer por la tarde, regresé de una semana en Paris. Después de los tres primeros días dedicados a una oposición administrativa, la octava desde septiembre, disfruté de mi tiempo libre a visitar el museo Branly, sobre los artos primeros, y el centro Georges Pompidou de arte contemporáneo. Pero de eso, hablaré otro día...tal vez.

Como suelo hacerlo cuando me toca venir en una ciudad donde viven amigos, les  llamo para que tomemos una copa o que comemos algo en un restaurante. Así que esta vez, he podido quedarme con dos amigas del instituto. Dos chicas que no había visto desde cuatro años al menos, aunque nos escribíamos de vez en cuando.

Desde que las conozco, E. y C. me han parecidos siempre estupendas. Son realmente guapas e inteligentes, cada una en su estilo y con su carácter propio. Y al encontrarnos los tres en restaurante camboyano, bebiendo vino blanco y riendo, me recuerdo de los personajes de Vicky y Christina, la película de Woody Allen, aunque no tengo nada de un Javier Barden.

E. tiene una cabellera morena ensortijada que le dan, en mi opinión, une cierta atracción. Sus ojos, de color marón, son vivos y brillantes. Su sonrisa, muy regular, ilumina su cara. Aunque nunca la encontré gorda noté que ha adelgazado, dándole aun más prestancia. Es una mujer determinada y con mucha ambición, sensata en sus reflexiones y muy curiosa de las cosas. Es una persona muy alegre.

C. es rubia con unos ojos azules que atraen la mirada. Gozando de un cuerpo con buenos triunfos, la chica desempeña sensualidad. Su corte de pelo liso le hace parecer más mujer que nunca. Es una joya porque es tan lista como linda. De carácter rebelde, es un poco bourgeois-bohème, a la vez romántica y muy liberada. A veces parece artista maldita. Sabe hacerse respectar y apreciar.

En el instituto, C. y yo teníamos el proyecto de hacer estudios de ciencias políticas, pero ella lo dejo tras un año de preparación y sobre todo por el amor de un hombre, un "artista" como ella, y con quien ha vivido más de 7 años. Aunque en muchos aspectos somos muy diferentes, reconozco que siempre me ha gustado esta chica. Al saber que venía, y más tarde que era soltera, he soñado todo el santo día en poder pasar la noche con ella. Pero la realidad fue otra...

04 juin 2010

Le grand air

Il y a un mois de cela, certaines personnes dans ma promo avaient lancés l'idée de faire une randonnée en montagne, histoire de sortir de notre établissement et du cadre toulousain. Sur les 15 personnes que nous sommes au total, à peu près 7 personnes s'étaient dites partantes. En raison de la météo (de la neige en mai!), nous avons du annuler la première date.

Voyant que rien ne bougeait après ce report, j'ai décidé de relancer mes collègues, mails après mails, sms après sms, appel après appel. Finalement nous avons réussis à la faire. Quand au retour de la balade, l'un de mes amis m'a remercié d'avoir insisté, je me suis dit que ça n'avait pas été vain.

Nous sommes donc partis à 5 donc faire une rando près d'un village situé à côté de Luchon. Le parcours constituait une boucle. Il a fait assez chaud, surtout au milieu de l'après midi, et il n'y avait pas vraiment de coin d'ombre. Heureusement, une légère brise venait nous rafraichir.

Voici quelques photos. Normalement, à l'exception de la photo du groupe, on pouvait toutes les agrandir mais visiblement je m'y suis mal  pris. Et vu comment je galère à tout mettre en forme, ça va rester comme ça, hein !

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  Le chemin du départ (vu de dos) 
 
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A peu près au tiers de la montée, une maison de berger.

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Encore plus haut, deux maisons de berger (une sur la gauche). Première pause nutritive. Tout en bas, on aperçoit le village de départ. Au fond, sur la droite, un énigmatique signe. Une lettre. 

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Le A d'anarchiste ? Les extraterrestres peut-être...

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L'équipe presque au complet, Gael tentant d'installer le minuteur sur mon appareil photo

 
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De l'autre coté du versant

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 La vue d'en haut. Pause repas. Après l'effort, le réconfort.

Première rando de la saison (j'espère), putain j'en ai chié !

23:52 Publié dans Récit de vie | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : pyrénées

08 avril 2010

Soif de lectures

 

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Photo prise lors d'un passage à Gaillac (Tarn)

10:00 Publié dans Récit de vie | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : humour

06 avril 2010

Mauvais moment

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Bon, ben voilà, encore un concours que je rate. Depuis septembre dernier, je multiplie les échecs et c'est simplement déprimant. On a beau connaitre ses limites, anticiper de mauvais résultats sur la base de ses performances, comprendre à peu près où l'on a foiré, l'échec c'est toujours un très mauvais moment à passer.

Ok, rater un concours ou un examen c'est pas la mort, y'a toujours pire dans la vie d'un homme. Oui, je sais bien que c'est pas parce qu'on échoue à un moment donné qu'on est définitivement et intrinséquement pas apte à occuper un poste, m'enfin difficile de pas se poser des questions et plus encore de pas se remettre en questions.

Avec ce concours, c'est une autre porte qui se ferme momentanément. Il me reste encore une ou deux options mais je suis pas certain que le coeur y soit. Pas ce soir en tout cas. Je m'efforce de voir les choses méthodiquement, de penser et faire les choses les unes après les autres, mais je ne peux m'empecher de réfléchir au moyen terme (septembre prochain), et au risque réel de me retrouver sans aucune perspective.

Ce qui me désole aussi ce soir, j'avoue, c'est l'absence de mes amis dans les moments de doute. Déjà que mes parents ont pas été bons pour ce soir, se rendre compte que les amis viennent trop rarement aux nouvelles, c'est assez rageant. Amour propre et orgueil mal placé, oui, j'assume. Mais les coups de gueule ça sert aussi à ça ! ;-)

NB: je pense surtout aux amis IRL.