02 juillet 2010
Un objectif, une méthode
Note à destination des militants de ma section en vue d'adopter une méthode et un calendrier de travail pour les socialistes, dans l'optique des prochaines municipales.
En mars dernier, le Parti Socialiste et ses alliés ont remportés les élections régionales. De l’avis de nombreux militants, cette victoire confère au PS et à la gauche en général une responsabilité particulière : celle de réussir l’alternance en 2012 au niveau national – et c’est l’objectif de nos conventions thématiques, de la préparation du projet socialiste et de l’organisation des primaires ouvertes – et en 2014 en ce qui concerne X (ma commune).
Les dernières réunions de section ont montrés que si nous sommes tous d’accord sur l’objectif – notons bien que gagner une élection n’est pas une fin en soi mais un préalable à l’action – nos approches diffèrent sur la méthode à employer pour atteindre cet objectif. Un des désaccords concerne la relation entre le PS et les autres composantes de la gauche locale et/ou acteurs de la vie locale. Certains souhaitent associer nos partenaires d’emblée à l’élaboration d’un programme commun, d’autres privilégient a contrario un travail interne comme préalable à l’ouverture.
La proposition que nous faisons se veut une synthèse entre ces deux positions. Elle est justifiée entre autre par l’agenda politique à venir. En effet, si l’élection municipale a lieu au printemps 2014, la section sera mobilisée par les primaires (fin 2011) puis les élections présidentielles et législatives, trois moments politiques qui ne favoriseront pas vraiment, à notre avis, un rapprochement politique local.
Ainsi nous proposons une méthode de travail en deux temps :
Septembre 2010 – Fin 2011 | Septembre 2012 – Début 2014 |
Nous consacrerons certaines réunions de section (un sur deux ou une sur trois) sur un thème précis (préalablement défini) avec l’intervention en introduction d’une ou plusieurs personnalités reconnues pour leurs expertises sur le sujet traité.
L’intervenant est là pour nous donner une grille de lecture ainsi que des connaissances devant nous permettre de travailler sur le sujet rapporté à Castelginest. Il y a aussi un objectif de formation et de partage d’information.
Une position commune issue de nos travaux collectifs sur le sujet, sera adoptée lors des réunions thématiques suivantes. Ces positions communes ne constitueront pas le projet local des socialistes en tant que tel mais une base de discussion pour la deuxième phase. | Nous contacterons nos partenaires locaux ou tout acteur local s’inscrivant dans la famille des progressistes, pour lancer des réunions de travail communes.
En lieu et place de certaines réunions de section (un sur deux ou une sur trois), nous organiserons ces réunions communes. De ces réunions doit émerger le projet collectif en vue des municipales
Des négociations devront être menées pour constituer une liste unique de la gauche et s’accorder sur un dispositif de ratification du projet.
Il est indispensable que le/la premier(e) des socialistes, élu fin 2013, s’inscrive dans cette démarche et non en porte à faux. |
Les thèmes traités pourraient être les suivants: l’urbanisme, l’environnement, les transports, la culture, l’éducation, la vie associative, l’économie/finance etc. La liste n’est pas exhaustive.
Nous avons tous des thèmes de prédilection et d’autres qu’on maitrise moins ou qui ne nous passionnent pas. Mais il est important, dans la mesure où nous ferons venir des intervenants, que les militants fassent un effort de mobilisation. Par respect pour l’intervenant qui fait le déplacement.
Par cette proposition nous souhaitons relancer le débat, si possible en le clarifiant, et non le fermer. Toutes les critiques sont bienvenues. Idem pour les amendements ou les contre-propositions.
Mais une fois la méthode adoptée – celle-ci ou une autre – par tous les militants réunis en assemblée générale, elle devient celle de tous les socialistes.
20:24 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0)
28 juin 2010
Suit Up !
Une scène d'un épisode d'How I Met Your Mother dont je vous ai déjà parlé.Le personnage de Barney est excellent et l'acteur qui l'incarne, Neil Patrick Harris est génial et bourré de talent.
Rien à voir, mais les quelques fois où j'ai porté un costume, dont à la cérémonie de remise des diplômes, j'avoue que j'ai adoré car j'ai l'impression alors d'être un autre homme :)
Enfin, petite pensée pour Tonio qui était en costume les trois fois où nous nous sommes vu sur Paris. C'est son bleu de travail comme il dit ;-)
23:45 Publié dans Cinéma et Série TV, Musique | Lien permanent | Commentaires (2)
24 juin 2010
Alé lé blé !
Comme de nombreux français, j’ai suivi le psychodrame de notre équipe de foot – fraichement débarquée du mondial – le weekend dernier. Difficile de faire autrement quand on est à ce moment là chez des oncles, accro au sport, quel qu’il soit, et qui zappent d’une chaine sportive à une autre. Du coup, je ne résiste pas à donner ma petite opinion sur l'affaire.
Disons le tout net, je n’ai jamais été amateur de foot et de sport en général. Je suis bien incapable de regarder « assidument » un match ou un tournoi, car je suis vite distrait. Et quand je regarde, je ne suis pas capable d’apprécier le jeu et les actions de telle équipe, à la différence des supporters sportifs. C’est parfois handicapant, socialement parlant
Si les joueurs n’ont rien fait pour s’attirer la sympathie des français (peu de sourires, peu d’interview, peu de disponibilité pour les supporters, ils n’ont pas non plus brillé par leurs exploits etc) et si Raymond Domenech n’est pas un super communiquant, on ne peut être que frappé par l’acharnement des média contre le sélectionneur et l’équipe de France.
Mon impression, c’est que certaines personnes – tant du monde sportif que du journalistique – voulaient se payer Domenech depuis quelques temps déjà. Et la composition de l’équipe de France n’a pas convaincu : trop d’individualités, pas assez d’esprit collectif. Les média ont beaucoup insisté sur le manque de cohésion au sein de l’équipe, sur les rivalités et autres traits de la vie d’un groupe.
On est très vite rentré dans un cercle vicieux : les joueurs apparaissent assez antipathiques, les média insistent sur cet aspect, les joueurs se braquent renforçant ainsi la pression des média. Moins les Bleus parlent, et plus les média veulent en savoir plus. Et j’avoue que je comprends mal cette curiosité, cette demande d’informations qui m’apparaissent secondaires voir superflues. Par exemple, quel est l’intérêt du point presse quotidien ?
Autre fait marquant : l’omniprésence des anciens champions du monde de 1998. Beaucoup d’entre eux interviennent comme consultants sportifs dans les émissions consacrées au foot. Or j’ai l’impression que certains prenaient la posture de donneur de leçons vis-à-vis de leurs successeurs, oubliant au passage qu’ils avaient reçu à peu près les mêmes critiques en 2002, lorsqu’ils s’étaient fait éliminer dès le premier tour.
Mais cette omniprésence a autre chose de malsain à mon goût. On célèbre/ commémore tellement cette équipe de France de 1998 et cette belle victoire qu’elle fini par écraser les générations suivantes d’une pression supplémentaire. Il est temps de démystifier tout cela.
00:07 Publié dans Réflexion du jour | Lien permanent | Commentaires (4)
14 juin 2010
El deseo
Ayer por la tarde, regresé de una semana en Paris. Después de los tres primeros días dedicados a una oposición administrativa, la octava desde septiembre, disfruté de mi tiempo libre a visitar el museo Branly, sobre los artos primeros, y el centro Georges Pompidou de arte contemporáneo. Pero de eso, hablaré otro día...tal vez.
Como suelo hacerlo cuando me toca venir en una ciudad donde viven amigos, les llamo para que tomemos una copa o que comemos algo en un restaurante. Así que esta vez, he podido quedarme con dos amigas del instituto. Dos chicas que no había visto desde cuatro años al menos, aunque nos escribíamos de vez en cuando.
Desde que las conozco, E. y C. me han parecidos siempre estupendas. Son realmente guapas e inteligentes, cada una en su estilo y con su carácter propio. Y al encontrarnos los tres en restaurante camboyano, bebiendo vino blanco y riendo, me recuerdo de los personajes de Vicky y Christina, la película de Woody Allen, aunque no tengo nada de un Javier Barden.
E. tiene una cabellera morena ensortijada que le dan, en mi opinión, une cierta atracción. Sus ojos, de color marón, son vivos y brillantes. Su sonrisa, muy regular, ilumina su cara. Aunque nunca la encontré gorda noté que ha adelgazado, dándole aun más prestancia. Es una mujer determinada y con mucha ambición, sensata en sus reflexiones y muy curiosa de las cosas. Es una persona muy alegre.
C. es rubia con unos ojos azules que atraen la mirada. Gozando de un cuerpo con buenos triunfos, la chica desempeña sensualidad. Su corte de pelo liso le hace parecer más mujer que nunca. Es una joya porque es tan lista como linda. De carácter rebelde, es un poco bourgeois-bohème, a la vez romántica y muy liberada. A veces parece artista maldita. Sabe hacerse respectar y apreciar.
En el instituto, C. y yo teníamos el proyecto de hacer estudios de ciencias políticas, pero ella lo dejo tras un año de preparación y sobre todo por el amor de un hombre, un "artista" como ella, y con quien ha vivido más de 7 años. Aunque en muchos aspectos somos muy diferentes, reconozco que siempre me ha gustado esta chica. Al saber que venía, y más tarde que era soltera, he soñado todo el santo día en poder pasar la noche con ella. Pero la realidad fue otra...
01:08 Publié dans Récit de vie | Lien permanent | Commentaires (4)
04 juin 2010
Le grand air
Il y a un mois de cela, certaines personnes dans ma promo avaient lancés l'idée de faire une randonnée en montagne, histoire de sortir de notre établissement et du cadre toulousain. Sur les 15 personnes que nous sommes au total, à peu près 7 personnes s'étaient dites partantes. En raison de la météo (de la neige en mai!), nous avons du annuler la première date.
Voyant que rien ne bougeait après ce report, j'ai décidé de relancer mes collègues, mails après mails, sms après sms, appel après appel. Finalement nous avons réussis à la faire. Quand au retour de la balade, l'un de mes amis m'a remercié d'avoir insisté, je me suis dit que ça n'avait pas été vain.
Nous sommes donc partis à 5 donc faire une rando près d'un village situé à côté de Luchon. Le parcours constituait une boucle. Il a fait assez chaud, surtout au milieu de l'après midi, et il n'y avait pas vraiment de coin d'ombre. Heureusement, une légère brise venait nous rafraichir.
Voici quelques photos. Normalement, à l'exception de la photo du groupe, on pouvait toutes les agrandir mais visiblement je m'y suis mal pris. Et vu comment je galère à tout mettre en forme, ça va rester comme ça, hein !
Encore plus haut, deux maisons de berger (une sur la gauche). Première pause nutritive. Tout en bas, on aperçoit le village de départ. Au fond, sur la droite, un énigmatique signe. Une lettre.
23:52 Publié dans Récit de vie | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : pyrénées